Chien d'Ours de Carélie

  • Poids moyen adulte mâle
    entre 20 et 23 kg
  • Poids moyen adulte femelle
    entre 20 et 23 kg
  • Taille au garrot mâle
    entre 54 et 60 cm
  • Taille au garrot femelle
    entre 49 et 55 cm
  • Espérance de vie
    entre 11 et 13 ans
  • Budget

Poils et robe

Poils courts et raides avec un sous-poil dense. La robe est noire, avec des taches blanches plus ou moins importantes, essentiellement à l’avant du corps.

Personnalité, caractère et comportement

Le Chien d’ours de Carélie a gardé de cette spécialisation de chasse, un penchant un peu agressif et un instinct de combattant. Il est assez réservé avec les personnes étrangères.

Lieu d'habitation

Le Chien d’ours de Carélie est un chien d’extérieur qui peut s’adapter à la vie en intérieur mais à condition qu’il fasse beaucoup d’exercices physiques.

Cohabitation avec les enfants

Oui, le Chien d’ours de Carélie peut cohabiter avec des enfants mais attention avec les très jeunes enfants, car son caractère est parfois un peu agressif.

Cohabitation avec les autres animaux

C’est un chien qui peut être agressif avec les autres chiens.

Origines et histoire

Le Chien d’ours de Carélie, de type Spitz, est originaire de la région de Finlande proche de la frontière russe. Il y était utilisé pour chasser l’élan et l’ours grâce à son caractère courageux et persévérant. Aujourd’hui il chasse plutôt le sanglier.

Entretien quotidien

Le Chien d’ours de Carélie ne demande pas d’entretien particulier en dehors d’un brossage de temps en temps. Par temps chaud il perd beaucoup de poils, son pelage étant très dense.

Santé

Le Chien d’ours de Carélie bénéficie d’une santé solide et ne souffre d’aucune pathologie particulière. Cependant, pour être préparé à toute éventualité et garantir le meilleur soin en cas de problème de santé, pensez à souscrire à une assurance santé pour chien.

Particularités

Le Chien d’ours de Carélie est très répandu en Finlande et dans les régions limitrophes du côté russe. Pour des considérations politiques, après avoir reconnu dans un premier temps cette race, les Russes ont fait volte-face pour privilégier les races locales. Ils ont reconnu la race Laika carélo-finnois, en tout point semblable.